« A ne pas manquer » Claire Julliard, Le Nouvel Obs
« C’est un homme. Elle se l’est dit ainsi, d’un bloc. Ce mot-là, « homme », dès qu’elle l’a vu. Il occupait entièrement le cadre de la porte. Un homme. Massif. Plus homme qu’une pierre est
pierre.
Cette phrase comme un coup que par la suite elle recevra chaque fois, s’imposant, comme cet homme-là. »
Isabel préfère le silence aux longs discours, quitte à paraître farouche ou même hostile. Quitte à prendre des décisions subites, que parfois elle ne s’explique pas elle-même. Ainsi, lorsqu’elle quitte son mari sur un coup de tête, avec sa fille et deux valises, elle ne sait pas vraiment où elle souhaite aller, ni ce qu’elle compte faire de cette soudaine liberté.
A Poullic, en Bretagne, elle loue une chambre chez Violette, une vieille dame qui l’aide à retrouver peu à peu le goût de vivre. Isabel commence à travailler à la bibliothèque municipale et, en parallèle, amorce une correspondance avec un homme dont elle ne sait rien, sinon qu’il purge une longue peine à la maison d’arrêt de Poissy.
De la correspondance aux rencontres, à ce parloir où ils vont se retrouver face à face, il n’y a qu’un pas. Mais celui-là est décisif. Le silence, il va falloir le briser.
« Un roman fin et sensible sur les secondes chances de notre vie, le pouvoir des mots et l’amour qui bouscule les certitudes » Ariane Bois, Psychologies
« « Le parloir » est une interrogation sur ce qui nous lie, ce qui nous sépare, nous construit où nous reconstruit. » Alexandre Fillon, Le Télégramme
« Comme son titre le suggère, « Le Parloir » est un livre sur le pouvoir libérateur de la parole. » Claire Julliard, Le Nouvel Obs
« Une bien belle prouesse d’écriture ! » Michel Bolasell, Marenostrum.pm
« À travers cet échange entre deux êtres que tout sépare, Paule du Bouchet explore le pouvoir des mots, mais aussi celui du silence. La parole qui permet à chacun de s’affranchir du passé, de retrouver sa dignité et la force d’aimer. » Clotilde Martin, Actualitté
« Un roman tendre en dépit des situations douloureuses, empreint d'une grande humanité. » Stéphanie Janicot, Notre Temps
« Lecture obligatoire ! » Gérard Collard, librairie La Griffe Noire
« C’est un homme. Elle se l’est dit ainsi, d’un bloc. Ce mot-là, « homme », dès qu’elle l’a vu. Il occupait entièrement le cadre de la porte. Un homme. Massif. Plus homme qu’une pierre est
pierre.
Cette phrase comme un coup que par la suite elle recevra chaque fois, s’imposant, comme cet homme-là. »
Isabel préfère le silence aux longs discours, quitte à paraître farouche ou même hostile. Quitte à prendre des décisions subites, que parfois elle ne s’explique pas elle-même. Ainsi, lorsqu’elle quitte son mari sur un coup de tête, avec sa fille et deux valises, elle ne sait pas vraiment où elle souhaite aller, ni ce qu’elle compte faire de cette soudaine liberté.
A Poullic, en Bretagne, elle loue une chambre chez Violette, une vieille dame qui l’aide à retrouver peu à peu le goût de vivre. Isabel commence à travailler à la bibliothèque municipale et, en parallèle, amorce une correspondance avec un homme dont elle ne sait rien, sinon qu’il purge une longue peine à la maison d’arrêt de Poissy.
De la correspondance aux rencontres, à ce parloir où ils vont se retrouver face à face, il n’y a qu’un pas. Mais celui-là est décisif. Le silence, il va falloir le briser.
« Un roman fin et sensible sur les secondes chances de notre vie, le pouvoir des mots et l’amour qui bouscule les certitudes » Ariane Bois, Psychologies
« « Le parloir » est une interrogation sur ce qui nous lie, ce qui nous sépare, nous construit où nous reconstruit. » Alexandre Fillon, Le Télégramme
« Comme son titre le suggère, « Le Parloir » est un livre sur le pouvoir libérateur de la parole. » Claire Julliard, Le Nouvel Obs
« Une bien belle prouesse d’écriture ! » Michel Bolasell, Marenostrum.pm
« À travers cet échange entre deux êtres que tout sépare, Paule du Bouchet explore le pouvoir des mots, mais aussi celui du silence. La parole qui permet à chacun de s’affranchir du passé, de retrouver sa dignité et la force d’aimer. » Clotilde Martin, Actualitté
« Un roman tendre en dépit des situations douloureuses, empreint d'une grande humanité. » Stéphanie Janicot, Notre Temps
« Lecture obligatoire ! » Gérard Collard, librairie La Griffe Noire
« Ce roman vous emporte dans un tourbillon de vie, de frénésie, de douce folie. Tellement beau » Sandrine Dantard, FNAC Grenoble